Tu fais partie de la majorité de ces personnes qui ne sont pas passionnées par leur travail et qui dès le lundi attendent le week-end avec impatience ? Alors il est grand temps de quitter cet emploi et de donner un sens à ton existence. Être un entrepreneur performant, c’est avoir trouvé sa voie, exercer une activité qui t’épanouit et contribuer aux autres en offrant la richesse de ton potentiel et de tes talents.
Tu dors à poings fermés et soudain l’alarme de ton réveil retentit. Tu te réveilles juste assez pour appuyer sur « snooze » et tu te rendors aussitôt. Elle retentit à nouveau et là, en mode automatique, tu la fais taire, puis la triste réalité te frappe en plein visage : c’est déjà lundi. Tu lâches un soupir si intense qu’il suffirait à rendre un clown dépressif. Comme chaque début de semaine, tu te dis avec amertume « deux jours, c’est beaucoup trop court comme week-end ! »
Que les journées sont longues quand on n’aime plus son boulot ! Que la vie est plate ! On passe une très grande partie de notre vie au travail, et se fier uniquement aux week-ends pour apprécier la vie, serait comme compter sur les cornichons dans un double cheeseburger, ce n’est tout simplement pas suffisant. Dès lors, comment être sûr que l’activité que tu envisages correspond en tout point à ton job de rêve ? Car il ne faudrait pas retomber dans les mêmes travers.
J’ai moi-même connu ce genre de situation à 2 reprises. D’abord, lorsque j’ai voulu quitter mon job de salariée, car j’en avais marre d’être le maillon d’une chaîne ; ensuite lorsqu’au bout de 22 ans j’ai eu l’impression de tourner en rond en fiscalité. Là, la décision était plus difficile à prendre, car j’occupais une dizaine de personnes. Malgré mon emploi du temps chargé, j’ai appris à consacrer du temps à ma stratégie, à me poser les bonnes questions pour comprendre quels étaient mes talents, mes freins et mes envies. J’ai mis en place des techniques qui me permettent encore aujourd’hui de rester attentive à ce que je veux vraiment. Ainsi, j’en suis arrivée à la conclusion que j’avais 2 talents : celui de détecter chez l’autre ses talents et ses freins et celui de connecter les entrepreneurs entre eux pour qu’ils développent leur business respectifs. Ensuite, j’ai compris que mon pourquoi repose entièrement sur l’entrepreneur : je veux l’aider à construire un job qui lui ressemble et dans lequel il se réalise vraiment. Et lorsque les pensées sont claires, les émotions sont fortes, les actions prennent vie et le résultat aussi : j’ai créé Copilote et plus récemment le Copilote Business Club. Et vu le retour de mes clients et l’énergie qu’ils me renvoient, je dis : « merci la vie ! ».